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Pandémie du COVID-19 : Un Virus Made in China contre le monde

Publié le par arsenedogba

Après cette Guerre Bactériologique Mondiale (GBM), viendront les réparations:

la Chine panique déjà.

 

Source: Image Google

Nous sommes en guerre contre le coronavirus, ne cessent d'affirmer publiquement plusieurs dirigeants du monde depuis Mars 2020 et chaque fois qu’ils en ont l’occasion. Quand on voit, à travers le monde, des pays entiers se confiner les uns après les autres, on ne peut que soutenir l’affirmation de ces leaders. Oui, nous sommes en guerre, notre monde est en guerre. Et, ce ne sont pas les habitants confinés de Londres, Paris, Berlin, New York, Toronto, etc… dont les cités aux allures toujours festives et qui ont aujourd’hui l’air de villes mortes qui nous dirons le contraire. Dans les rues de ces capitales, ne sont autorisés que les corps de métier qu’on trouve généralement au front en période de conflit armé; c’est-à-dire les forces de défenses et de sécurité, le personnel médical, les medias et quelques marchands qui ne vendent que la nourriture.

Dans plusieurs pays occidentaux fortement touchés par la pandémie, c’est la reconversion de plusieurs industries pour la production d’équipements sanitaires de première nécessité tels que les masques, les gels hydro-alcooliques et les respirateurs pulmonaires.  Aux Etats-Unis par exemple, ce sont des constructeurs automobiles tels que Ford et General Motors pour ne citer que ceux-là qui se sont impliqués dans la production de matériels médicaux. En Angleterre, Jaguar, Land Rover, Bentley, Rolls-Royce… ont aussitôt répondu quand le premier ministre Boris Johnson a émis l’appel à leur reconversion pour préparer le National Health Services (NHS) à combattre la pandémie. Idem pour les constructeurs italiens (FCA, Ferrari et Marelli) et Allemands (Volkswagen, Porsche et BMW).

Même si dans la même période, les gratte-ciels de la City à Londres et de Wall Street à New York…ont gardé leurs éclats habituels, au fond, ces plateformes boursières ne représentent plus que des ruines financières. Les conséquences de la guerre biologique partie de Wuhan, en Chine, semblent les avoir déjà plombés.

Notre monde est donc en guerre totale contre un ennemi dangereux. En effet, depuis décembre 2019, tous les pays que compte notre planète se sont engagés, malgré eux, dans un conflit contre un ennemi invisible: le coronavirus. Et, en trois mois d’affrontements, cet ennemi redoutable a réussi à confiné toutes les populations du monde.

Concernant son identité, le président américain, Donald Trump, dans un langage que certaines personnes ont vite jugé peu diplomatique, a baptisé ce virus : le « Chinese Virus » ou le « Virus Chinois » à cause de son origine chinoise. Depuis, il n’y a plus de doute sur l’identité de ce virus qui a infecté à ce jour plus de deux millions de personnes et arraché la vie à 129045 personnes à travers le monde. C’est énorme.

C’est pourquoi, la chasse aux africains qui a lieu sur le territoire Chinois et principalement dans la ville de Canton, province du Guangdong, nous parait totalement injustifiée. De cette ville, il nous revient sans cesse que des chinois expulsent et mènent des attaques racistes contre des noirs à qui ils tentent maladroitement de faire porter la responsabilité de la propagation du coronavirus. Pour les africains que nous sommes, une telle tentative grossière de manipulation de l’opinion publique est inacceptable. Ainsi, ceux parmi nous qui avaient trouvé peu diplomatique la déclaration du président Trump relativement à l’identité de ce virus ont fini par se raviser et félicitent désormais le président américain. Ils affirment que, faite volontairement ou pas, la déclaration de Trump relative à l’identité du virus a coupé l’herbe sous les pieds des manipulateurs chinois. En vérité, si l’actuel président américain n’avait pas estampillé très tôt le coronavirus, « Chinese Virus », les manœuvres honteuses qui se développent actuellement en chine contre les africains auraient jeté le doute dans l’esprit du public. Et, à la longue, les puissants communicants chinois finiraient par faire endosser la responsabilité des dommages causés par ce virus au continent africain. Et, comme dans le cas du VIH-SIDA, notre continent se trouverait encore indexé.

La paternité du coronavirus étant déjà clairement établie par les américains, les chinois doivent arrêter immédiatement leurs actes racistes contre les noirs et assumer. Et que ce soit dorénavant clair pour tous, y compris pour les racistes chinois de Canton: l’ennemi commun de l’humanité est d’origine chinoise et s’appelle le Virus Chinois. Il n'est ni européen, ni américain, encore moins australien. Il n'est pas, non plus, africain. Et, les africains à qui l’on a souvent attribué certaines pandémies s’en réjouissent.

Pendant que le monde subit les assauts mortels de ce virus made in China, les autorités chinoises devraient, à mon avis, s'apprêter à assumer la responsabilité de cette première guerre biologique mondiale dont les victimes humaines se compteront bientôt en millions. Et, en toute responsabilité, se disposer à faire face aux nombreuses conséquences, présentes et à venir, de  ce virus qui serait sorti de son laboratoire niveau 4 de biosécurité basé à Wuhan. Pour gagner du temps, Beijing devrait déjà s’atteler à mener des réflexions profondes sur les différents mécanismes de réparations déjà appliqué après la Première et la Seconde Guerre Mondiale. Et, en amont, préparer des fonds d’urgence économique pour chaque état affecté. En cinq mois, les conséquences économiques, sociales, culturelles de cette pandémie sont déjà incalculables. Et la Chine le sait.

Même si, pour se disculper et tenter d’échapper aux lourdes amendes qui l’attendent, les autorités chinoises rejetaient la survenue du virus de Wuhan sur une quelconque fatalité, elles ne pourraient fuir la responsabilité qu’elles ont de maintenir l’hygiène sur le marché de cette ville d’où est parti le virus. Ce sont elles qui ont failli et non la nature. Ce sont elles qui ont échoué et non les autres leaders. La Chine doit donc reconnaitre ce fait. Et retenir définitivement que les dirigeants des pays victimes ne payeront pas pour une faute de gouvernance qu’elle a commise toute seule.

C’est pourquoi, ce sera inacceptable qu’après avoir fait perdre des milliers de vies humaines et détruit toutes les économies des autres état-nations à travers le monde, Beijing s’en sorte hauts les mains. Un tel choix de la part de la communauté internationale serait à la longue très préjudiciable aux relations entre les état-nations et à la gestion de la sécurité internationale.

A  l’avenir, des missiles qu’on nous dira incontrôlés, américains ou russes, pourraient partir de leurs sites de stockage pour détruire des pays entiers. Et, aucune institution n’aurait d’arguments solides pour tenir quiconque responsable des dégâts commis. Au vu de la jurisprudence dans l’affaire le virus  chinois contre l’humanité, il serait difficile à la communauté internationale de tenir pour responsables les pays d’origines de tels missiles incontrôlés. Il faut éviter une telle situation qui donnerait l’impression que la Chine, membre permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies, bénéficie d’une certaine immunité. Pour éviter cette  interprétation légitime qui fragiliserait l’ONU comme ce fut le cas de la défunte Société Des Nations (SDN) dans plusieurs conflits impliquant une grande puissance, la Chine doit payer des réparations substantielles aux familles endeuillées et aux économies touchées par le coronavirus.

Si l'Allemagne a payé plusieurs milliards de dollars aux Alliés pour sa responsabilité dans la survenue des deux Guerres Mondiales et pour les nombreux dégâts qu’elles ont causés à leurs ennemis, la Chine ne peut être tolérée pour cette guerre que le virus de Wuhan continue de mener contre l’humanité. La vérité historique relative aux réparations des Allemands justifie notre position actuelle de voir la Chine assumer pleinement sa responsabilité dans cette crise de la pandémie du Covid-19. L’Europe et de façon générale la communauté internationale ne peuvent pas avoir puni l’Allemagne après les deux guerres mondiales et consacrer l’impunité totale à la Chine dans la crise du coronavirus. Le faire serait injuste.

Les événements, irresponsables, honteux et inacceptables que les réseaux  sociaux nous rapportent de Canton est la preuve de la fébrilité de la Chine. Le géant asiatique craint de laisser de nombreuses plumes dans les réparations post-coronavirus qui lui coûteraient forcément sa position dans l’économie mondiale. Mais, il n’y a pas que ça, nos racistes chinois redoutent également les conséquences des peines pécuniaires diverses à verser aux victimes. Ils craignent qu’elles érodent son statut de puissance politique, diplomatique et sécuritaire régionale et mondiale. Nous comprenons donc le souci des chinois. Cependant, nous voudrions leur faire savoir à quel point nous trouvons malsains la volonté de la Chine de faire de l’Afrique le bouc émissaire dans cette situation malheureuse où les responsabilités ont déjà été établies par beaucoup de dirigeants du monde.

En voulant accuser les africains présents en Chine, les chinois tentent maladroitement de distraire les africains. Pour terminer, que les chinois retiennent définitivement que l’Afrique ne dort désormais plus. Ces fils et filles sont constamment éveillés. Ils gardent plus que jamais les yeux ouverts et veuillent aux grains. Vouloir accuser l’Afrique est donc peine perdu. Au lieu de distraire le monde, il est temps que la Chine se prépare aux diverses réparations qu’elle aura à payer après cette guerre biologique que mène son virus contre le reste du monde. Dans cette période d’angoisse où le virus continue d’endeuiller de nombreuses familles, on le voit, Beijing renforce son économie avec les recettes des équipements médicaux de première nécessité qu’elle vend à travers le monde. La Chine peut, maintenant, crier à la victoire dans les rues de Wuhan. Mais le moment venu, elle devra payer pour cette guerre bactériologue qu’on l’accuse de faire aux autres nations. Il ne peut en être autrement.

Par  Arsène Dogba

Politologue

 

 

 

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